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« Quelle cruauté ! » : le frère de Dani Alves obligé de démentir la rumeur d’un suicide

L’ancien footballeur du FC Barcelone et du PSG a été condamné le 22 février à quatre ans et demi de prison, ainsi qu’à verser 150 000 euros à sa victime, pour le viol d’une jeune femme en décembre 2022 dans une discothèque.

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La rumeur bruissait depuis quelques heures jusqu’à devenir viral sur les réseaux sociaux. Dani Alves, condamné pour viol il y a trois semaines, aurait mis fin à ses jours dans sa cellule de prison dans la périphérie de Barcelone. Il n’en est rien. Le frère de l’ancien footballeur, Ney Alves, a publié une vidéo dans la nuit de samedi à dimanche pour démentir ces allégations.

« Il a déjà été condamné. Cela ne suffit-il pas ? Il est en prison. Maintenant, la folie, c’est que vous voulez sa mort. Vous voulez voir mon frère mort. Quelle cruauté ! Mon père a plus de 70 ans. Ma mère a plus de 60 ans. Vous n’avez pas de famille, n’est-ce pas ? Ces pages ne cessent de répandre ces choses. Que Dieu ait pitié de vous », a déclaré l’homme sur son compte Instagram, convaincu de l’innocence de son frère. Dans les mêmes heures, l’attaché de presse de l’ex-latéral a contacté la radio Itatiaia à Belo Horizonte pour nier faits et annoncer une action en justice.

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Pour rappel, le 22 février, l’ancienne légende du FC Barcelone et de la Seleçao, aussi passée par le PSG, la Juventus Turin ou encore le FC Séville, a été renvoyée en prison. Un tribunal de la capitale catalane l’a jugé coupable du viol d’une jeune femme dans les toilettes d’une discothèque. Placé en détention provisoire depuis janvier 2022, il a été condamné à quatre ans et demi d’incarcération et 150 000 euros de dommages et intérêts envers la victime.

Le parquet fait appel, Dani Alves aussi

Selon l’acte d’accusation, l’ex-international brésilien avait offert du champagne à la victime, à sa cousine et à une amie et l’aurait ensuite invitée à le suivre dans une pièce attenante comportant des toilettes. Là, selon le ministère public, il aurait eu une « attitude violente » envers la jeune femme, qui a vécu une « situation d’angoisse et de terreur ».

Dans sa décision, le tribunal a balayé la défense du joueur affirmant que la jeune femme avait dansé « collée » à lui dans la discothèque et qu’il y avait entre eux « une tension sexuelle ». La défense d’Alves a été fragilisée par ses nombreux changements de versions. Après avoir affirmé n’avoir jamais rencontré la plaignante, le joueur avait justifié son mensonge en expliquant avoir voulu protéger son mariage, avant de finir par reconnaître une relation sexuelle, mais selon lui consentie.

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leparisien

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