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Pourquoi ne pas voter pour la mouvance présidentielle (le PASTEF) le 17 novembre prochain

Le 17 novembre prochain, un choix crucial se présente à nous : celui de notre avenir et de nos valeurs en tant que nation.

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Il est impératif de réfléchir attentivement à la situation actuelle et aux conséquences potentielles d’un vote en faveur de la mouvance présidentielle (le PASTEF).

Plusieurs raisons pressantes militent contre cette option :

1. Augmentation du chômage

La promesse d’un emploi pour tous s’est dissipée, et le taux de chômage a atteint des niveaux alarmants. Cette situation ne fait qu’aggraver la précarité des familles et exacerber les inégalités, laissant des milliers de jeunes désespérés face à un avenir incertain.

2. Hausses vertigineuses des prix

La flambée des prix des produits alimentaires, des tarifs de l’électricité et des factures d’eau est devenue insupportable pour la majorité des ménages. Cette crise du coût de la vie ne fait qu’amplifier les tensions sociales déjà présentes et soulève des inquiétudes quant à la capacité de l’État à garantir le bien-être de sa population.

3. Insécurité croissante

Les accidents quotidiennes, ainsi que l’augmentation des agressions mortelles, sont désormais des réalités dévastatrices, rendant nos villes moins sûres. La crainte de sortir de chez soi est un signe alarmant de l’échec des politiques de sécurité publique.

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4. Immigration clandestine et tragédies humaines

La situation d’immigration clandestine s’est accentuée, avec des centaines de morts en mer Méditerranée. Cela soulève des questions éthiques et morales sur la gestion des frontières et la protection des vies humaines.

5. Le vivre ensemble en péril

Les tensions entre différentes confréries et communautés sont exacerbées par l’arrogance de l’État et d’une gouvernance qui semble négliger la nécessité du dialogue et de la paix sociale. Les pratiques de division et d’intimidation doivent cesser pour préserver notre unité nationale.

6. Pratiques dictatoriales et instrumentalisation de la justice

Les dérives autoritaires, le musellement de la presse, et l’instrumentation de la justice sont des signes inquiétants d’une démocratie en danger. Ces atteintes à nos libertés fondamentales nous rappellent que le respect des droits humains est un pilier essentiel de notre société.

7. Incompétence des dirigeants

Le niveau de compétence de nos dirigeants soulève des interrogations. Le manque de vision et de maîtrise des affaires de l’État est flagrant, entravant le progrès et le développement national.

8. Chute de notre diplomatie

Une diplomatie vacillante et inefficace expose notre pays à des menaces extérieures, notamment la montée d’extrémismes, tel que le djihadisme, qui pèse lourdement sur notre sécurité.

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En tenant compte de ces différents aspects alarmants, il est clair que voter pour la mouvance présidentielle (le PASTEF) le 17 novembre n’estt pas une option viable pour garantir un avenir meilleur pour notre pays. Il est essentiel de rechercher des alternatives qui priorisent la justice sociale, la sécurité, et le véritable dialogue démocratique. Notre acte de vote peut redéfinir notre avenir ; il est impératif de l’utiliser pour promouvoir un changement positif.

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